Il s’agit d’une attaque portée avec la main ouverte, de haut vers le bas, sur le sommet du crâne de l’adversaire afin de toucher le point vital. Le bras de Tori doit rester dans la ligne centrale et ne pas se tendre entièrement afin de protéger son coude et son centre. 
Si l’attaque Shomen paraît simple, elle ne l’est pas. La frappe porte généralement sur le haut du front et symbolise la coupe au sabre plus qu’un atemi efficace. La recherche de l’efficacité avec la main ouverte nécessite un entraînement et la recherche du point tanto (dit des cent réunions ou zone de l’ancienne fontanelle) pour espérer un effondrement de l’adversaire. Cette attaque reste surtout le symbole du sabre. Elle permet de travailler le timing pour se glisser sous cette attaque et la capacité à retourner le partenaire (dans un travail éducatif).

Il s’agit d’une attaque portée avec la main ouverte, sur une trajectoire diagonale du haut vers le bas, en direction de la tempe ou de la base du cou afin de toucher le point vital. Le bras de Tori doit rester dans la ligne centrale pendant la montée de l’attaque et adopter une diagonale uniquement sur la descente.
L’attaque Yokomen symbolise les deux coupes diagonales au sabre, mais elle a aussi un véritable potentiel d’efficacité. Plusieurs cibles sont possibles : la tempe pour étourdir ou davantage, en cas de rupture de l’os temporal. la base du cou pour briser l’os de la clavicule le cou pour déplacer ou casser les vertèbres. La recherche de l’efficacité avec la main ouverte nécessite un entraînement. Cette attaque reste surtout le symbole du sabre. Il existe un gyaku-yokomen-uchi, soit une attaque diagonale remontante, rarement étudiée.

Action d'attaquer avec le poing afin de toucher le point vital de face dans le visage de l'adversaire. (le plexus solaire pour son action sur la pointe du coeur et le péricarde, le foie, la rate, l’estomac.)
Il s’agit d’une attaque portée avec le poing fermé en direction du ventre de l’adversaire. Le bras de Tori doit rester dans la ligne de son articulation, sans dévier sur le côté.

Action d'attaquer avec le poing afin de toucher le point vital de l'adversaire.(la pomme d’Adam, la pointe du menton, le point sous le nez, le nez, les yeux)
Il s’agit d’une attaque portée avec le poing fermé en direction du visage de l’adversaire. Le bras de Tori doit rester dans la ligne de son articulation. L’épaule ne doit pas avancer toute seule pour accompagner le mouvement. Le risque est qu’Uke profite du déséquilibre ainsi créé.

Il s’agit d’une attaque avec le pied, niveau moyen et de face comme l’indique le mot “mae”. Le coup de pied est frontal, la frappe s’effectue avec la plante ou la pointe du pied et les orteils relevés afin de toucher le point vital. C’est le coup de pied le plus simple mais aussi le plus puissant qui existe. Il se pratique aussi en Ushiro Geri, pour donner un coup de pied en arrière. Le bras de Tori doit rester dans la ligne centrale pendant la montée de l’attaque et adopter une diagonale uniquement sur la descente. Ce coup de pied se retrouve dans la plupart des arts martiaux. Il existe en version Jodan et Gedan.

Mawashi Geri est le nom d'une technique venant des arts martiaux tel que dans le ju-jitsu, le karate ou même le judo. C'est un coup de pied circulaire. Les surfaces de frappe utilisées sont le bol du pied ou le dessus du pied, cependant utiliser le dessus du pied peut être plus dangereux du fait que cette zone est un point vital.
Nous pouvons faire ce coup de pied soit en keage (fouetter) ou en kekomi (défoncer).